Jeremy – Tching Tchong – Scott

escargot-weloveartLes plumes, les ailes, les tidididididi, bref, l’aérien… j’aime.

Et comme je suis très « contre-courant », les sneakers ailées de Jeremy Scott pour Adidas, je les veux maintenant et pas en novembre de l’année dernière !

Va-t’en trouver l’aiguille dans la meule des éditions limitées : un vrai bazar.
Quand je les trouve, grâce à la magie des Internets, avec « Jeremy Scott » dans l’URL (top crédible signe et gage de fiabilité), je fonce sans même réfléchir. Allé hop, carte bleue, fais toi belle, ce soir, c’est soir de fête.

Tutti va bueno. Ça marche. Voilà ! C’est fait !
Sauf que niveau taille, je m’en veux de ne pas avoir pris plus grand. Ça chausse petit les Adidas. Et payer des frais de retour + de re-expédition… Aie.

No soucis, j’envoie un premier mail pour demander une taille au-dessus… puis un second… un troisième, j’en tente même un quatrième pour la gloire sans évidemment recevoir de réponse. Jamais. Je tente alors dans une lueur d’espoir de tracer le colis. Le numéro n’existe pas.

Ça sent le roussi.

Mais, comme par miracle, une semaine ½ plus tard (ce matin), je découvre la preuve de passage du facteur menteur (j’étais chez moi, pas absente) et reconnais le numéro du colis !!! Je n’en reviens pas et sautille en chantonnant jusqu’à ma Poste chérie, youpi !

C’est bien connu, les miracles n’arrivent jamais seuls, ils peuvent aussi être accompagnés de surprises bien fumantes, du genre : provenance et fabrication DE CHINE. En d’autres termes, de vilaines contrefaçons, en mauvais plastique qui fouette.

Je suis hors de moi de m’être faite avoir de la sorte sans avoir été plus vigilante, mais m’oblige à relativiser afin de ne pas en plus me gâcher mon cadeau. Cette histoire leur donne un certain second degré au point les rendre presque marrantes. J’ai décidé d’en faire leur différence. En puis la taille est impec’. Je vois le verre à moitié plein (et non le compte complètement vide).

Et longue vie aux Internets chinois!

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J-4, Pocahontas!

oiseauLUNDI.
LE lundi.
Le pire moment de la vie.
C’est lui.

Fatiguée. Super fatiguée. Je ne me ferai décidemment jamais au fait que le week-end ne dure que 2 petits jours, qui courent toujours plus vite que moi (trop vite).

Cerveau en veille, c’est aussi le jour ou j’arrive au travail en collants à grosses fleurs, robe trop courte, rouge à lèvres orange, chouchou, palmier et veste en cuir frangée à paillettes.

Moche, 3 ans 1/2, c’est moi qui choisit mes habits.

Découragée à l’avance par mes 4 prochains réveils… et les millions d’heures de sommeil qui me manque pour les affronter. Le lundi est un non-jour (pas vrai?).

Pour ce qui est d’aujourd’hui, je m’en suis plutôt bien sortie, en pensant à elles au saut du lit: mes petites bottines blanches à franges.

Je les aime, je les adore.
Et grâce à elles, cette journée sent bon la prairie et le tippy.
Hugues!

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