Ce qui s’applique à un enfant, s’applique à ma personne: « Termine ton assiette, tu pourras aller jouer dehors » !
Assiette expédiée. Je file derechef, l’œil vif et brillant, visiter les allées fraîches et accueillantes du grand magasin dont je possède une carte de grande fidélité. Croix d’bois, croix d’fer, si j’mens, j’vais en enfer. Promis juré, super fidélité.
Chez Zadig & Voltaire.
Déformation pas franchement professionnelle, mon regard abaissé cherche les chaussures. Toujours et encore elles.
Mouais. Pas grand-chose (Galeries Montparnasse / toutes petites). Mais quand même! (Il faut savoir que quelque soit l’endroit où je me trouve, quelque soit avec qui, pourquoi, quand, comment… j’arrive toujours à m’encanailler d’une nouvelle proie. Une vraie couguar à l’affût d’un moindre frétillement de lacet)
Yeux froncés, bouche en cul de poule, mes yeux s’écarquillent !
C’est fichu, j’ai repéré les restes d’une pauvre bête montées : en santiags ! (sisi)
Pas ma taille, du tout. Et ce sont les dernières (évidemment !), ou comment une simple visite de courtoisie post-déjeuner s’est transformée en défi ultime dont ma vie dépend (Hmmm, je sais, c’est moche).
En route pour un tour de France téléphonique de tous les points de vente! Yahaaalaaaaa !
Évidemment, pour bien attiser ma soif … il ne reste que du trop petit ou du carrément trop grand dans toute la ville et sa proche banlieue.
J’ai fini par trouver LA dernière paire disponible de l’hexagone… à Nantes. Ville bénie des Dieux (envoyées directement chez moi – réglables en deux fois sans frais – avec en plus, cherry on the cake, un petit mot adorable de la vendeuse).